Habitué des matinées de festival, le groupe centré autour du Canadien Danko Jones se spécialise dans le rock n roll brut, style AC/DC, avec voix assez proche d’Henry Rollins.
Problème : les morceaux sont tellement génériques et peu inspirés que l’intérêt de cette plaque frise le néant, tant au niveau des riffs que des paroles (sex, love, drugs, blah). La seconde moitié de l’album est plus expérimentale (enfin, façon de parler, c’est pas Aphex Twin non plus), mais le tout reste pas terrible du tout.
Rendez-vous à Werchter à 11h15…