Encore un qui ne sait pas tenir ses promesses… Quelques années après avoir annoncé sa retraite, Norman Cook, alias Fatboy Slim revient nous dire que la techno de papa, c’est fini. Même s’il y croit encore. Palookaville est un assemblage de clichés : faux scratches, voix souls répétant la même phrase sans arrêt (comme dans plus ou moins tous ses hits), guest vocals, guitares samplées… Paraît que cet album comprend plus de vrais instruments, faut il encore en faire de bons morceaux. Le single Slash Dot Dash est insupportable, la collaboration avec Damon Albarn aurait été recalée sur Think Tank, et quand le meilleur est encore une reprise « pour rire » de The Joker (Steve Miller Band) avec Bootsy Collins, on a tout compris. Mauvais, et inutile.