Brésil : Sepultura. Evidemment un des plus gros groupes de metal de l’histoire du metal, au moins jusqu’à un certain moment. Sepultura a commencé comme groupe de death metal classique, avec crânes en pochette, logos illisibles et histoires de nécrophilie. Puis, ils ont eu l’excellente idée d’embrasser leur culture, et fusionner les sons traditionnels brésiliens avec leur heavy metal. Les albums Chaos AD et surtout Roots en témoignent. Malheureusement, des conflits internes entre le chanteur Max Cavalera et le reste du groupe le poussent à quitter celui-ci, et à fonder Soulfly, tandis que Sepultura le remplaça par Derrick Green. Les deux groupes sont toujours en activité, et reprennent toujours les anciens classiques tels que Refuse/Resist, Roots Bloody Roots ou Ratamahatta. Malheureusement, on ne peut plus en dire grand chose de terrible, et on se contentera (et c’est déjà très bien) de souvenirs, comme ceci :
Chili : Difuntos Correa. Pas toujours facile de trouver des groupes rock latino-américains qui font autre chose que bêtement singer les succès anglo-saxons. Difuntos Correa ajoute à une base résolument rock des cuivres tout chauds, dans un style pop-ska assez sympa, entraînant, et finalement assez original. Bizarrement, j’aime assez. Spotify a quelques albums, qui semblent vraiment très chouettes.
Brésil – Chili 2-1