Et de onze pour Therapy?. Ils n’ont évidemment plus rien à prouver depuis longtemps, ayant connu la gloire, puis la descente avant de se stabiliser maintenant avec une fanbase stable, et des album qui continuent à être très bons et variés.
Ceci dit, depuis le précédent album, Never Apologize Never Explain, on peut remarquer que le groupe revient à des sonorités plus heavy, assez grunge même, et One Cure Fits All assure à ce niveau, ceci dès le premier morceau (Sprung) et son riff infernal. Les morceaux ne perdent pas leur temps, et sont très straight to the point, sans trop de compromis. On regrettera juste peut-être que le groupe n’aura pas pris autant de risques que d’habitude avec cet album, qui, dans le classement de leurs meilleurs, se retrouvera sans doute dans la seconde moitié.
Ceci dit, depuis le précédent album, Never Apologize Never Explain, on peut remarquer que le groupe revient à des sonorités plus heavy, assez grunge même, et One Cure Fits All assure à ce niveau, ceci dès le premier morceau (Sprung) et son riff infernal. Les morceaux ne perdent pas leur temps, et sont très straight to the point, sans trop de compromis. On regrettera juste peut-être que le groupe n’aura pas pris autant de risques que d’habitude avec cet album, qui, dans le classement de leurs meilleurs, se retrouvera sans doute dans la seconde moitié.
Le plus important finalement, est que Therapy? croit toujours en ce qu’ils font, contrairement à d’anciennes vieilles gloires du rock qui auraient mieux fait de raccrocher leurs guitares il y a bien longtemps. Andy Cairns continue à exprimer sa vision du monde via des paroles parfois sombres, mais toujours recherchées, alors que musicalement, on reste dans le très bon, puissant et très bien exécuté (notamment dans le jeu de batterie de Neil Cooper).
Une fois de plus, et c’est quand même assez rare, vivement le prochain.